用法语简介电影《放牛班的春天》以及主旨
答案:2 悬赏:40 手机版
解决时间 2021-01-25 19:24
- 提问者网友:像風在裏
- 2021-01-25 01:12
用法语简介电影《放牛班的春天》以及主旨
最佳答案
- 五星知识达人网友:枭雄戏美人
- 2021-01-25 02:07
l'histoire
À notre époque, le célèbre chef d'orchestre Pierre Morhange apprend la mort de sa mère.
Après l'enterrement, il reçoit la visite inattendue d'un de ses anciens camarades de classe, Pépinot, qu'il n'a pas revu depuis une cinquantaine d'années.
Ce dernier lui apporte le journal de leur surveillant, Clément Mathieu.
En 1949, Clément Mathieu est un professeur de musique au chômage.
Il accepte un emploi de surveillant dans un internat où sont placés des garçons difficiles.
L'internat s'appelle le « Fond de l'Étang ».
Rachin, le directeur, fait régner une discipline de fer et son mot d'ordre est : « Action, réaction! ».
Dès qu'un élève commet une faute, il est puni sans pitié.
Devant sanctionner dès son arrivée celui qui a piégé la porte de l'infirmerie et blessé l'homme à tout faire, Mathieu se rend compte que les enfants ont davantage besoin de compréhension et de liberté.
Il parvient à obtenir l'autorisation du directeur de former une chorale à partir de sa classe.
L'histoire va être l'occasion de confronter deux visions de cette école : le directeur qui veut de la discipline et Mathieu qui cherche par la chorale à donner un but aux enfants.
Mathieu échouera avec Mondain, un jeune confié à l'internat par un psychiatre, et que Rachin accusera du vol des finances de l'établissement et renverra.
Cependant, le directeur doit composer car la comtesse qui participe au financement du pensionnat a entendu parler de la chorale et souhaite l'entendre avec ses amis et amies.
Mathieu va ainsi pouvoir montrer la réussite, notamment faire entendre la voix de Morhange, un garçon renfermé et buté face aux adultes, mais talentueux vocalement.
Mais, alors que le directeur est près de recevoir tous les honneurs et que Mathieu est seul responsable avec les enfants au début de l'été, un incendie ravage une partie de l'internat (on comprend, en voyant Mondain roder dans les parages avec sa cigarette, que c'est lui qui a mis le feu).
Heureusement les enfants n'étaient pas dans l'internat lors de ce fâcheux incendie.
Mais le directeur ne cherchait que cette occasion pour renvoyer le surveillant responsable de la chorale.
Mathieu quitte l'école, pensant que les enfants ne penseront plus à lui, mais reçoit de la fenêtre de sa classe une pluie d'avions en papiers sur lesquels les élèves expriment leurs remerciements et lui souhaitent une bonne vie.
Autour du film
Le film est un des plus gros succès de l'histoire du cinéma français, rencontrant un succès public aussi surprenant qu'immédiat avec ses huit millions et demi d'entrées en dix semaines d'exploitation ; et une première diffusion télé attirant plus de 11 millions de spectateurs.
Il est un remake du film de Jean Dréville, La Cage aux rossignols (1945).
La plupart des enfants ne sont pas des acteurs professionnels et ont été sélectionnés dans les écoles et collèges de la région de Clermont-Ferrand, sauf deux, Parisiens. Quant à Maxence Perrin, il est le fils de Jacques Perrin qui ouvre et clôt le film ; et Jean-Baptiste Maunier est membre de la chorale des « Petits Chanteurs de Saint-Marc ».
Contrairement à La Cage aux rossignols, le film ne se conclut pas par une fin heureuse. Même si elle n'est pas tragique, elle laisse beaucoup de portes ouvertes sur le devenir des personnages : que ce soit pour Clément Mathieu (le « pion ») ou pour Pépinot, comme pour le devenir des enfants de la chorale.
Le succès du film doit beaucoup à la musique écrite par Bruno Coulais. En urgence, la production du film a publié les partitions. La chorale du film apparaît régulièrement dans des émissions de télévision depuis la sortie du film.
Le succès du film a provoqué en France un engouement pour le chant choral, notamment les chœurs d'enfants, redonnant un souffle à ces formations musicales qui tombaient en désuétude ; il a aussi permis au château de Ravel (lieu de tournage du film) d'acquérir une grande notoriété en triplant son nombre annuel de visiteurs
À notre époque, le célèbre chef d'orchestre Pierre Morhange apprend la mort de sa mère.
Après l'enterrement, il reçoit la visite inattendue d'un de ses anciens camarades de classe, Pépinot, qu'il n'a pas revu depuis une cinquantaine d'années.
Ce dernier lui apporte le journal de leur surveillant, Clément Mathieu.
En 1949, Clément Mathieu est un professeur de musique au chômage.
Il accepte un emploi de surveillant dans un internat où sont placés des garçons difficiles.
L'internat s'appelle le « Fond de l'Étang ».
Rachin, le directeur, fait régner une discipline de fer et son mot d'ordre est : « Action, réaction! ».
Dès qu'un élève commet une faute, il est puni sans pitié.
Devant sanctionner dès son arrivée celui qui a piégé la porte de l'infirmerie et blessé l'homme à tout faire, Mathieu se rend compte que les enfants ont davantage besoin de compréhension et de liberté.
Il parvient à obtenir l'autorisation du directeur de former une chorale à partir de sa classe.
L'histoire va être l'occasion de confronter deux visions de cette école : le directeur qui veut de la discipline et Mathieu qui cherche par la chorale à donner un but aux enfants.
Mathieu échouera avec Mondain, un jeune confié à l'internat par un psychiatre, et que Rachin accusera du vol des finances de l'établissement et renverra.
Cependant, le directeur doit composer car la comtesse qui participe au financement du pensionnat a entendu parler de la chorale et souhaite l'entendre avec ses amis et amies.
Mathieu va ainsi pouvoir montrer la réussite, notamment faire entendre la voix de Morhange, un garçon renfermé et buté face aux adultes, mais talentueux vocalement.
Mais, alors que le directeur est près de recevoir tous les honneurs et que Mathieu est seul responsable avec les enfants au début de l'été, un incendie ravage une partie de l'internat (on comprend, en voyant Mondain roder dans les parages avec sa cigarette, que c'est lui qui a mis le feu).
Heureusement les enfants n'étaient pas dans l'internat lors de ce fâcheux incendie.
Mais le directeur ne cherchait que cette occasion pour renvoyer le surveillant responsable de la chorale.
Mathieu quitte l'école, pensant que les enfants ne penseront plus à lui, mais reçoit de la fenêtre de sa classe une pluie d'avions en papiers sur lesquels les élèves expriment leurs remerciements et lui souhaitent une bonne vie.
Autour du film
Le film est un des plus gros succès de l'histoire du cinéma français, rencontrant un succès public aussi surprenant qu'immédiat avec ses huit millions et demi d'entrées en dix semaines d'exploitation ; et une première diffusion télé attirant plus de 11 millions de spectateurs.
Il est un remake du film de Jean Dréville, La Cage aux rossignols (1945).
La plupart des enfants ne sont pas des acteurs professionnels et ont été sélectionnés dans les écoles et collèges de la région de Clermont-Ferrand, sauf deux, Parisiens. Quant à Maxence Perrin, il est le fils de Jacques Perrin qui ouvre et clôt le film ; et Jean-Baptiste Maunier est membre de la chorale des « Petits Chanteurs de Saint-Marc ».
Contrairement à La Cage aux rossignols, le film ne se conclut pas par une fin heureuse. Même si elle n'est pas tragique, elle laisse beaucoup de portes ouvertes sur le devenir des personnages : que ce soit pour Clément Mathieu (le « pion ») ou pour Pépinot, comme pour le devenir des enfants de la chorale.
Le succès du film doit beaucoup à la musique écrite par Bruno Coulais. En urgence, la production du film a publié les partitions. La chorale du film apparaît régulièrement dans des émissions de télévision depuis la sortie du film.
Le succès du film a provoqué en France un engouement pour le chant choral, notamment les chœurs d'enfants, redonnant un souffle à ces formations musicales qui tombaient en désuétude ; il a aussi permis au château de Ravel (lieu de tournage du film) d'acquérir une grande notoriété en triplant son nombre annuel de visiteurs
全部回答
- 1楼网友:轻雾山林
- 2021-01-25 02:51
期待看到有用的回答!
我要举报
如以上问答信息为低俗、色情、不良、暴力、侵权、涉及违法等信息,可以点下面链接进行举报!
大家都在看
推荐资讯